Auteur(s)
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: |
Pascal
Giat
Responsable Cifre à l’ANRT (Agence Nationale de la Recherche et de la Technologie)
Rémi Barré IFRIS (Institut Francilien Recherche Innovation Société), CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) Alain Tord Responsable du pôle "Enseignement Supérieur" de la société coopérative B&L Evolution |
Activité | : |
Premières assises sciences-sociétés
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Événement | : |
Premières assises sciences-sociétés
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Lieu | : |
MSH Sud, site Saint-Charles 2, Montpellier
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Date | : | 4 juillet 2017 |
Langue | : | Français |
Licence | : |
Les conventions Cifre constituent sur la longue durée le dispositif le plus stable de tous en ce qui concerne le soutien à la R&D dans les entreprises. Créé au départ au profit exclusif du monde industriel, depuis ces dernières décennies, il s’est progressivement ouvert. Désormais accessible aux associations, il demeure toutefois, par certains côtés, opaque et encore fermé à diverses catégories d’acteurs (coopératives de recherche, une partie du monde associatif). Dans le cadre des propositions du Livre Blanc d’Aliss, il s’agira ici, à la fois de mieux comprendre la nature de ce dispositif, et de poser la question des modalités concrètes d’un élargissement au travers de cas concrets (refus, bureaucratie en apparence opaque, etc.). En effet, l’ANRT, qui gère pour le compte du ministère de la recherche ce dispositif, s’est montrée intéressée à l’idée de poser la question d’un élargissement au profit du « Tiers état de la recherche », pourquoi pas au travers d’un groupe de travail national ad hoc. Parlons-en !